Début avril, sublime nature
Je suis à la pirogue Api (Raiatea) avec Franck et Cécile, et j'ai passé la fin d'après midi avec eux.
Le site est vraiment extraordinaire, d'une beauté époustouflante, et de quel côté que l'on se tourne c'est magique.
En plus il y a un calme plat total, le lagon est complètement comme de l'huile, on se croirait au commencement du monde.
Trop beau.
je vais rester quelques jours dans ce véritable paradis, hors du temps, hors de tout, loin de la civilisation et du bruit.
Pourtant dessous il y a de la vie, ça bouillonne le soir, les caranques passent à table, je vais finir par en pêcher une...
La photo de nuit, c'est le Beach bar, sur la plage (of course).
C'était tellement beau que même les tahitiens (toute une équipe garçons et filles qui ont été embauchés par Franck pour remettre du sable sur l'atoll) sont venus voir le coucher de soleil.
Fin mars, les couchers de soleil qui font presque tout oublier...
Après l'épisode staphylo, un mois de "repos" s'annonce, à naviguer entre les îles et voir les copains... avant l'arrivée du dernier équipage, puis le retour en France mi-mai.
barre pagination
Autres pages à visiter :
4 avril 2019
2 commentaires:
Écrivez votre commentaire dans le cadre réservé "Saisissez votre commentaire".
N'oubliez pas de signer sous le cadre : "Sélectionner le profil" pour dérouler les possibilités de signature :
. Choisissez "Nom/URL", remplissez (laissez la case URL vide).
. "Continuer", puis "Publier".
. Cochez "Je ne suis pas un robot", faites ce que l'anti-spam vous dit de faire...
. à nouveau "Publier" ... c'est fini !
N.B. : On peut aussi "Répondre" à une personne précise, dans ce cas votre commentaire apparaitra juste sous celui de cette personne, au risque d'être enfoui s'il est ancien...
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
mi-avril
RépondreSupprimerCa devient fou
Il y a de plus en plus d'énormes catamarans, laids comme pas possible, mais hyper luxueux, à des prix fous (photos).
Et en 4 ans, la Polynésie a complètement changé, il y a des vols d'annexes et de moteurs, les lagons sont de plus en plus pleins de voiliers (bon 10 ou 15, rien à voir avec Porquerolles), et des bouées payantes.
Et la Nouvelle Zélande demande une taxe d'entrée comme aux USA.
Heureusement je suis dans un coin pas trop peuplé avec toujours, des couchers de soleil fabuleux.
Début mai
RépondreSupprimerBon, dernier retour pour Tahiti, avec, il est vrai, un hiver (été ici) pas piqué des vers.
Heureusement Laurent est venu me donner un coup de main, car entre les vertiges, le staphylocoque, le genou et maintenant le bras droit complètement bloqué, il y a mieux comme croisières idylliques...
Donc je prépare la bôme, qui me tombe dessus, à 10 cms de ma tête, ce qui fait qu'il n'y aurait plus eu de capitaine.
Heureusement elle est tombée sur mon épaule gauche, un des rares membres qui est encore en bon état. ......
Les cordages qui la retenaient ont dû un peu amortir le choc, et mon épaule va bien. Mais c'était juste juste de bien plus grave.
Bon, tout va bien, et on a décidé de partir un jour plus tôt car la météo est bien mauvaise pour les jours à venir.
Sauf qu'on se tape un temps épouvantable, quelques grains bien puissants mais surtout un vent et une mer pile de face, ce qui fait qu'on cogne et on n'avance pas.
La mer est tellement confuse et folle (comme lors de mon trajet aux îles Cook) que le Corto souffre.
Une latte fiche le camp, un coulisseau aussi, et nous dérivons beaucoup.
On arrive trop à droite de Moorea, donc on doit faire des heures en plus pour récupérer la dérive, un deuxième coulisseau lâche, on baisse la voile et on rentre enfin au moteur, dans le lagon de Opunou, au calme. Ouf.
Expérience un peu hard pour Laurent dont c'est la première sortie au large.
Voila, parfois le Pacifique peut ne pas l'être, il est vrai que j'ai très rarement eu aussi mauvais temps.
En plus on a mis 24 heures au lieu de 17 en moyenne, et je suis content car Cécile, Franck et Joëlle ont bien suivi mon périple et ont été bien soulagés lorsque je les ai prévenus de mon arrivée. Merci à eux.
Il ne reste que 15 miles environ pour rejoindre Papeete, puis je prendrai un avion pour rejoindre la France et faire un (très) grand carénage du capitaine, pour qu'il puisse recommencer à faire le fou sur la mer jolie. :)