Ca vaut le coup de faire un petit tour au yacht-club...
La pirogue Api, Motu Mo'ute à Tahaa
Cette fois-ci, ambiance très différente, même si les décors sont les mêmes, ie lagon transparent et motu paradisiaque, sauf que c'est le motu " la pirogue Api " où Anne et Patrick ont dormi deux jours (voir les photos) et où nous avons tous ensemble pris les repas du grand chef (non, ce n'est pas moi) Franck, qui nous a mijoté des plats exceptionnels.
Seulement 5 personnes en tout au resto, bungalow très sympa avec vue sur le lagon, descente directe sur le sable et rapports très amicaux avec nos hôtes, qui sont charmants.
... Et comme ils méritent bien un peu de pub, cliquez sur cette phrase pour découvrir leur site.
Difficile de faire mieux dans le haut de gamme tranquille, et si vous ne craignez pas de faire rougir votre carte bancaire, n'hésitez pas, vous ne trouverez pas mieux.
D'ailleurs vous voyez plus bas votre capitaine préféré en pleine action.
Et je rajoute juste pour mon plaisir une photo de mon fils, que je trouve aussi beau que son père. .....
(petit P.S. : et moi la frangine je ne résiste pas au plaisir de vous remettre une couche du sublime coucher de soleil de la page précédente,
que vous ne manquerez pas de retourner voir EN CLIQUANT LA :) ):
Fin de croisière gastronomique...
Vendredi soir, triste soirée, car la fin d'une croisière gastronomique très sympathique, avec Anne et Patrick, qui m'ont faire prendre certainement quelques kilos, avec ce marathon de bons restaurants.... plus le top avec la "pirogue api".....
Et samedi soir, dans la foulée, Jimmy m'a invité chez lui, sur les hauteurs de Punauia, le quartier résidentiel de Papeete : maison sur 3 étages, avec vue splendide sur le Pacifique et Moorea.
Petite soirée tranquille..... nous étions 20....... avec fondue savoyarde et alcools à discrétion.
Juré, craché, demain c'est salade verte et yaourt..
Et mon orgueil dût-il en souffrir, je ne peux m'empêcher de vous transmettre un des plus beaux messages jamais écrits sur le livre d'or :
Au magicien qui rend l'improbable, le rêve, réalité
A l'alchimiste qui fait dialoguer le désir avec l'impossible
A l'être humain qui transmute la grisaille et la monotonie des jours en chaleur et amitié
Il ne reste qu'un seul mot à offrir, un seul mot qui vaille :
Merci
A l'alchimiste qui fait dialoguer le désir avec l'impossible
A l'être humain qui transmute la grisaille et la monotonie des jours en chaleur et amitié
Il ne reste qu'un seul mot à offrir, un seul mot qui vaille :
Merci
Une petite vidéo (en musique) de la croisière d'Anne et Patrick :
... Puis une croisière marathonienne sans pouvoir écrire ...
Après les 20 jours avec Cathy, où j'ai craché mes poumons à la suivre, mes retours aux petites baignades (de 2 heures quand même) dans le lagon me vont parfaitement, j'ai l'impression d'être le petit retraité qui va faire sa promenade digestive après la sieste.
Faut dire que je nage tranquilou, m'arrête pour regarder sous les patates de corail, fais marche arrière pour suivre un requin ou une caranque, toujours curieux et pas très farouches, et j'ai même assisté au repas de petits poissons qui déchiquetaient une méduse, la seule que j'aie vue depuis des années.
T'aurais vu la gueule de la méduse, en lambeaux, plus de tentacules et sacrément ébouriffée. Je comprends pourquoi il n'y en a pas ici.
Voila, rien de bien original, seulement du très beau temps, une mer d'huile, sauf un jour d'orages où la mer était très haute, passait par-dessus la barrière de corail, et pour la première fois dans un lagon, il y avait des vagues et le Corto roulait dans tous les sens, perdu entre le courant, le vent et les vagues, tous joyeusement contradictoires. Machine à laver garantie.
Et encore un très beau coucher de soleil...
et un aussi beau lever...
Puis avec Fred et Quentin, le dernier voyage avant retour en France,
un avant-goût du site à mantas, magnifique...
Bien trop occupé pour vous donner des nouvelles, pourtant il y a eu quelques moments bien sympathiques, dont cette raie manta, qui nous a tenu compagnie un bon bout de temps, pas farouche du tout, un peu coquette même, on avait l'impression qu'elle aimait se faire photographier !!!!
Mais, c'était le plus étonnant, dans un endroit pas du tout sauvage.
Sinon hier, deux belles murènes, dont une de plus d'un mètre en eau libre juste sous le bateau, on n'aime pas trop, même si ce n'est qu'un délit de faciès.
Les copains en sont ravis, du coup hier soir, soirée de gala au Sofitel, avec danses tahitiennes, marquisiennes et danse du feu. Bien sympa, et le roulement de hanches des tahitiennes est un régal.
Et le Corto qui se prend pour un Boeing...
En quittant Papeete par calme plat, je me résignais à faire du moteur jusqu'à Moorea (15 miles jusqu'à Opunou), bien qu'ayant essayé de mettre toute la voilure, histoire de faire un peu de voile et de soulager le moteur.
Mais heureuse surprise, à un tiers du chemin, un joli nuage bien blanc et à l'air pas dangereux du tout, a poussé le Corto dans ses retranchements, à plus de 8 nœuds.
Le Corto filait le mors dans les dents, sensation grisante.. et à un moment il y a eu une poussée magique, le Corto s'est envolé à 12 nœuds, et tenir la barre tenait de l’épreuve de force, car surchargé, mon brave bateau ruait dans les brancards.
Tout s'est bien terminé, dommage qu'il n'y ait pas plus souvent de telles sensations, le Pacifique l'étant plutôt dans son ensemble :)
La preuve en image : (ok, le pitaine est un faux, mais le GPS est le vrai ! :) )